HÀ l’arrêt depuis 2015, suite à la décision du groupe Eramet pour une période indéterminée en raison de la baisse des cours des métaux, “L’accélération de la reprise des activités sur le site du gisement polymétallique de Mabounié est un impératif” a indiqué le ministre des Mines.
Encore inexploité, Mabounié, outre ses réserves de métaux rares, pourrait fournir de l’uranium et du thorium, des métaux hautement radioactifs. Avec une production estimée à 2 millions de tonnes de minerais brut par an, le projet pourrait produire environ 1 million de tonnes de minerais concentré.