Menace de mort, saccage de son bureau, son gardien poignardé, documents emportés, filature, le lanceur d’alerte, par ailleurs membre de la société civile le « Copil Citoyen », interrogé par notre rédaction, Christian Rekoula affirme que sa descente aux enfers aurait débuté après la diffusion en octobre dernier par France 2 et les Observateurs de France 24 de reportage où ce dernier dénonçait la pollution pétrolière de la compagnie franco-britannique à Etimboué.
En outre, il affirme être en planque pour échapper à ses ravisseurs, avant, il aurait tenté de se réfugier à la base française du Camp de Gaulle, où il aurait été entendu par des agents du service de renseignement, puis par un gendarme, avant d’être invité à se rendre au consulat, puis à l’ambassade de France pour y demander asile. Surtout que les nombreuses plaintes avec des preuves accablantes qu’il aurait déposé auprès des autorités judiciaires auraient toujours été classées sans suite par les enquêteurs affirme-t-il.