Jeanne Ngoleine Ossouka n’a pas attendu l’intensification des bombardements de l’armée israélienne sur les positions du Hezbolah au Liban, pour quitter précipitamment ses bureaux situés dans le quartier présidentiel huppé de Baabda, à dix minutes de l’aéroport international de Beyrouth- Rafic Hariri.
Sauf qu’avant la mise en place d’un plan d’évacuation annoncé depuis la capitale gabonaise par Jeanne Ngoleine Ossouka le lundi 30 septembre, près de mille gabonais attendaient leur rapatriement sur Libreville, avec la crainte de trouver la mort sous les bombardements de l’aviation israélienne.
Alors que le personnel gabonais a également été évacué, au consul, la permanence est désormais assurée par une libanaise et conseillère de Jeanne Ngoleine Ossouka qui s’assure de la constitution de la liste des gabonais souhaitant quitter le Liban. Il serait une centaine déjà inscrit sur la liste et composée en majorité de binationaux et de rares étudiants.
En attendant, le bouclage de la liste, Libreville s’organise pour affréter un avion dans les tous prochains jours afin de procéder à l’opération d’évacuation.
Oh mais qui est fou ?
Normalement elle devrait être là dernière à quitter le sol libanais mais bon quand vous êtes un diplomate en carton ça donne ce genre d’agissement.
Elle a failli à sa mission elle doit être relevée de ses fonctions, elle ne mérite pas ce poste