• Portrait
  • Société et culture
  • Sports
Le Confidentiel du Gabon
Aucun Résultat
Voir Tous les Résultats
  • Accueil
  • Actualités
  • Les coulisses du pouvoir
  • Business & réseaux
  • Nominations
  • Cold case
  • Le Brief du Jour
  • Qui Sommes-Nous ?
Le Confidentiel du Gabon
  • Accueil
  • Actualités
  • Les coulisses du pouvoir
  • Business & réseaux
  • Nominations
  • Cold case
  • Le Brief du Jour
  • Qui Sommes-Nous ?
Aucun Résultat
Voir Tous les Résultats
Le Confidentiel du Gabon
Aucun Résultat
Voir Tous les Résultats
Accueil Actualités

Tribune : Augustin EMANE alerte sur le syndrome du Père Noël au lendemain du coup d’Etat du 30 août

Augustin EMANE, Maître de conférences HDR à l’UFR Droit de l’Université de Nantes, UMR CNRS 6297, Point Sud Institute Bamako, dans une tribune parvenue à notre rédaction alerte sur le risque de désillusion ou de « la tentation du Père Noel » qui pourrait naitre au lendemain du Coup d’Etat militaire qui a libéré la parole et porté en exergue l’idée selon laquelle le Président de la Transition est l’homme à tout faire, capable de répondre à toutes les revendications sociale, et en appelle donc à « la responsabilisation du travailleur ». Tribune.

ANDREA MOUKOUAMA par ANDREA MOUKOUAMA
19 septembre 2023
dans Actualités, Les coulisses du pouvoir
Tribune : Augustin EMANE alerte sur le syndrome du Père Noël au lendemain du coup d’Etat du 30 août. Crédit : Le Confidentiel

Tribune : Augustin EMANE alerte sur le syndrome du Père Noël au lendemain du coup d’Etat du 30 août. Crédit : Le Confidentiel

Partager Sur FacebookPartager sur Twitter

 

A Lire Egalement

Séisme chez Réagir de François Ndong Obiang : Quinze cadres claquent la porte

Gabon : Murielle Minkoue épouse Mintsa prend les rênes d’une administration de la Présidence remodelée

Akanda : Un cadre du Rassemblement pour la Patrie et la Modernité claque la porte

Déesse inconnue jusqu’au 30 août dernier, la liberté d’expression s’est imposée au sommet du panthéon gabonais depuis le Coup d’Etat ou de Liberté selon la formule que l’on choisira. Personne n’y a échappé, pas même Gabon TV, qui semble avoir découvert son chemin de Damas ou sa glasnost pour reprendre des références plus récentes. De mémoire de téléspectateur assidu, les sujets sociaux n’avaient jamais occupé une telle place dans les bulletins d’information des télévisions publiques (si l’on excepte les différents versants des sempiternelles activités du PDG). Pas un journal télévisé sans qu’il ne soit fait mention des fortes attentes des travailleurs ou plus souvent encore de leurs revendications !

Si à l’instar d’une écrasante majorité de compatriotes, la satisfaction ne peut être que de mise devant ce que le pays vit depuis le 30 août 2023, il y a lieu de l’analyser pour en tirer le meilleur ou proposer des améliorations. Pour le faire, il faut partir du fait générateur de la situation actuelle à savoir l’acte posé le 30 août 2023 par les forces armées gabonaises. Dans le Préambule de la Charte de la Transition, les crises sociales font partie des éléments ayant justifié leur intervention. Pour autant, il ne sera pas question pour nous d’embrasser l’ensemble du champ social. Ici, nous nous arrêterons au riche volet des relations de travail. Dans celui-ci, deux enseignements sont à tirer de la séquence actuelle.

Le premier est, pour reprendre ce que disait un journaliste, dans le J.T. de 20 heures de Gabon TV le 11 septembre 2023, la réalité d’« une grogne d’une ampleur impensable ». Celle-ci porte en elle les germes d’une multiplication inédite des revendications, et un risque de surenchère effrénée. S’agissant du second enseignement, c’est le sentiment d’un “déjà vu”, avec cette tendance lourde de considérer que le Chef de l’Exécutif est l’homme à tout faire, capable de répondre à toutes les demandes. C’est fort justement cette tentation d’un Père Nöel qu’il faut éviter, pour échapper au risque de multiples désillusions, avec des conséquences que personne ne peut prévoir. Dans cette optique, le maître mot doit être la responsabilisation du travailleur qui est également un citoyen.

 

L’état des lieux : une grogne d’une ampleur impensable

 

Après le pays où tout allait bien, scandé par le rythme frénétique des activités du PDG, et la reconnaissance unanime de « l’œuvre accomplie » qu’il fallait absolument poursuivre, nous avons droit désormais à une réalité dont, même les échos n’avaient pas accès aux honneurs de la télévision publique. Pourtant, ces revendications qui s’invitent désormais aux J.T. ne naissent pas comme champignons après la rincée du 30 août. Ce n’est que l’émergence (pour reprendre un terme cher à l’ancien régime) de conflits sur lesquels reposait une énorme chape de plomb, mais que l’ensemble des Gabonais connaissaient quand ils n’en souffraient pas. La chape ayant explosé, il convient de circonscrire les débordements et tenter de résoudre ce qui peut l’être.

Pour mener à bien une telle entreprise, il importe de dresser un état des lieux, les occurrences étant diverses, elles n’appellent pas des solutions identiques. Au vu de ce que nous avons pu regarder sur les écrans gabonais, on peut relever trois types de situations que l’on peut détailler ainsi : les violations flagrantes de la législation du travail ; les situations en souffrance depuis de nombreuses années ; les demandes jamais satisfaites intégralement ou partiellement, et que l’on pensait à jamais prescrites.

Dans la première catégorie, il y a toutes les relations de travail en cours, et dans lesquelles de nombreuses violations des dispositions du Code du travail sont à relever. Le 11 septembre 2023, dans le J.T. de 20h de Gabon TV, un reportage a été consacré au mouvement d’humeur des salariés de la Zone économique à régime spécial de Nkok. Contrairement à ce que la dénomination peut laisser entendre, Nkok ne bénéficie pas d’un régime dérogatoire au niveau de la législation du travail. L’ensemble des dispositions du Code du travail s’y appliquent, sauf indication contraire. Fort de cela, et profitant du vent de liberté qui souffle sur le pays, les salariés de Nkok ont donc dénoncé entre autres le fait que certains parmi eux recevaient des salaires inférieurs à 150.000 CFA, travaillaient au-delà de la durée légale sans bénéficier du paiement des heures supplémentaires, et que par ailleurs les prélèvements effectués sur leurs rémunérations n’étaient pas toujours reversés à la CNAMGS ou à la CNSS.

Dans le même J.T., les dockers menaçaient eux aussi d’entrer en grève, au motif que leur employeur ne respectait pas les règles relatives à leur embauche. Quelques jours plus tôt, ce sont les salariés d’Olam à Moutassou dans la Ngounié qui manifestaient leur mécontentement devant les menaces de licenciement ou de mises à pied dont ils faisaient l’objet. A l’origine de ces mouvements, il y aurait la décision unilatérale de l’employeur de mettre fin à la gratuité de l’électricité et de l’eau dont les salariés gabonais bénéficiaient jusque-là.

Divers secteurs d’activités, y compris le secteur public sont touchés par les mêmes soubresauts. Il serait fastidieux d’en dresser une liste complète ici.

Dans la deuxième catégorie, il y a des salariés gabonais dont les contrats de travail ont pris fin du fait de la situation économique de leur employeur. Les licenciements économiques qui en ont résulté n’ont pas souvent donné lieu aux indemnisations pourtant expressément contenues dans le Code du travail. Ce que l’on observe plutôt depuis quelques années, c’est un enlisement ne laissant aucune lueur d’espoir poindre à l’horizon jusqu’à ce que se produisent les événements du 30 août. C’est notamment le sort connu par de nombreux anciens salariés de la SATRAM, qui continuent de réclamer le paiement des indemnités liées à leur licenciement. On peut aussi intégrer dans cette seconde catégorie les demandes récurrentes des pensionnés qui ne demandent qu’une chose : bénéficier des retraites pour lesquelles ils ont cotisé pendant leur carrière.

La troisième et dernière catégorie renvoie à des drames qui avaient quasiment été oubliés par le plus grand nombre. Alors même que leurs préjudices étaient établis, des compatriotes n’ont, parfois, jamais obtenu la réparation de ceux-ci. Certains ont perdu la vie entre temps, entraînant ainsi l’extinction des actions. Mais avec le 30 août 2023 qui est devenu une ouverture à tous les possibles, chacun essaie de réanimer des affaires que l’on croyait éteintes en coma mortel. C’est le cas de la situation des anciens salariés de la COMUF qui tentent d’obtenir réparation comme cela s’est fait ailleurs (et notamment en France ou la même entreprise a également exploité de l’uranium entre 1945 et 2001) pour leur exposition à la radioactivité et les pathologies qui en ont résulté.

 

L’attraction présidentielle : une solution hasardeuse

 

Face à ce qui a été précédemment décrit, il y a comme un continuum pour ne pas dire un réflexe pavlovien : solliciter l’intervention du Chef de l’Etat. Dans l’absolu, adresser une telle requête au Président n’a rien d’anormal. Dans le fonctionnement pyramidal du pays depuis l’Indépendance, tout ne procède-t-il pas d’un homme omnipotent voire même omniscient ? Par contre, ce serait mentir à nos compatriotes de laisser penser que tout pourra être résolu par l’intervention de ce nouveau démiurge, qui prend la place qu’occupait jadis dans l’inconscient collectif le « Grand Camarade » puis le « Distingué Camarade Président ».

Dans Gabon Media Times du 17 septembre 2023, Morel Mondjo Mouega a écrit : « L’abrutissement et l’infantilisation de nombreux compatriotes a été la marque de fabrique du Parti démocratique gabonais durant plusieurs décennies. Alors que le pays entre dans une nouvelle ère de son histoire, de nombreux Gabonais espèrent à présent que le nouveau pouvoir interdira ces pratiques d’un autre âge » (Gabon : de la nécessité de mettre fin au kounabélisme et au culte de la personnalité érigés par le PDG, GMT, 17 septembre 2023, https://gabonmediatime.com/gabon-de-la-necessite-de-mettre-fin-au-kounabelisme-et-au-culte-de-la-personnalite-eriges-par-le-pdg/).

Au-delà de l’interpellation du pouvoir qui est faite, le propos de ce compatriote, renvoie chacun de nous à ses responsabilités. Comment imaginer en effet que, d’un coup de baguette magique, le nouveau pouvoir résolve le lot des difficultés quotidiennes des Gabonais dans le domaine traité dans ces lignes ? Le titre porté par le Général Oligui Nguema, Président de la Transition, doit éviter toute inclination dans les travers du passé. L’article 2 de la Charte de la Transition dispose en effet que, la mission que les nouvelles autorités se sont confié, est de refonder l’Etat, rebâtir de nouvelles institutions fortes et crédibles, garantissant un véritable Etat de droit. Il y a aussi l’engagement à mener des réformes majeures. On peut donc imaginer que le domaine social n’en est pas exclu, même si cela n’apparaît pas expressis verbis dans la Charte.

Si la Transition a eu pour effet de suspendre un certain nombre d’institutions, la législation du travail ne s’en est pas trouvé affectée. Le Code du travail continue donc à être appliqué, et dans les 413 articles qui le composent, l’expression « Chef de l’Etat » n’apparaît nulle part. Il n’y a donc pas lieu de considérer que le Président de la Transition aurait vocation naturellement à s’investir dans les conflits de travail, qui, au rythme que nous observons, ne manqueront pas de se multiplier. Certains doivent se souvenir encore du coût du licenciement collectif des personnels navigants commerciaux d’Air Gabon, autorisé par un ministre du travail, au mépris des règles de droit qui réservait cette compétence à l’inspecteur du travail.

La prudence à laquelle nous appelons n’est pas du tout synonyme de pusillanimité bien au contraire. Il convient en effet d’apporter des solutions satisfaisantes aux situations décrites précédemment. A cet égard, la méthodologie prévue pour la Transition politique peut être reprise avec la mise en place d’une transition que l’on pourrait qualifier de sociale.

 

La transition sociale : une voie à explorer

 

Dans la phase actuelle, face aux demandes que l’on recense, deux types de réponses peuvent être apportées, les unes immédiates, les autres plus prospectives.

Les réponses du premier type concernent surtout les premières et deuxièmes catégories de situations que nous avons identifiées plus haut. Comme l’a d’ailleurs déclaré la Directrice du Travail le 11 septembre à Gabon TV, il y a lieu d’appliquer la loi, telle qu’elle est prescrite. C’est la mission assignée aux inspecteurs du travail de veiller au respect de cette exigence, et éventuellement aux juges de sanctionner les manquements dénoncés. Si d’aventure, on devait s’adresser au Président de la Transition, ce serait uniquement pour lui demander d’être le garant du respect des règles de droit par les employeurs, sa parole n’étant pas commune.

Le second type de réponses renvoie à la crise sociale qui a été évoquée dans la Charte de la Transition. Quelles en sont les causes, et comment la surmonter ? Telles sont les interrogations dont devraient s’emparer les acteurs sociaux intervenant dans ce champ.

Sur les causes de la crise sociale, elles sont principalement doubles. C’est en effet une crise de la formation des normes avec le constat de l’inadaptation de nombre d’entre elles, et c’est également une crise de l’ineffectivité avec les difficultés quand ce n’est pas carrément un refus de les appliquer. Nous en avons de multiples illustrations en ce moment.

La voie que nous préconisons est sans hésitation aucune celle d’un dialogue, que l’on peut qualifier de social, pour reprendre une expression en vogue dans les milieux autorisés. Néanmoins, et même si c’est un truisme de le rappeler, le dialogue suppose au minimum deux personnes. C’est là malheureusement où le bât blesse dans notre pays.

Dans un des « Considérant » de la Charte de la Transition, il est fait mention des « conclusions des concertations nationales inclusives, tenues à Libreville au Palais Rénovation, avec les représentants des (…) des centrales et fédérations syndicales, du secteur informel, des organisations patronales, des organisations et ordres socioprofessionnels (…) ». A priori, il y a lieu de se réjouir du fait que les partenaires sociaux aient ainsi été associés au processus ayant conduit à l’adoption de cette charte. Pour autant, si s’agissant des employeurs le doute n’est pas permis sur leur degré d’implication, il n’en est pas de même pour les centrales et les fédérations syndicales du fait de l’atomisation de ces structures (le Conseil Economique et Social fait état de 500 syndicats environ au Gabon). Or, le dialogue social doit reposer sur deux jambes solides. Pour l’instant, cela est loin d’être acquis à cause des faiblesses structurelles des syndicats gabonais (à l’exception notable de quelques-uns comme l’ONEP par exemple), qui font davantage penser à des petites coopératives.

A notre connaissance la COSYGA serait en train de rédiger un memorandum, alors que pour sa part la coalition des syndicats de la CNSS annonce qu’elle veut négocier avec les autorités de la Transition. Néanmoins, nous n’avons aucune idée du contenu de ces négociations. Ces initiatives conduisent à se demander comment les syndicats pensent la Transition. Doit-il s’agir seulement de répondre aux revendications que l’on entend monter de plus en plus ?

Une telle approche serait particulièrement réductrice au vu des enjeux en présence, et surtout de la formidable opportunité qui leur est donnée de se réformer. Il ne s’agit pas d’interdire le pluralisme syndical, mais on peut s’inspirer des modèles burkinabé (avec Unité d’Action Syndicale qui regroupe les principaux syndicats) ou tunisien (UGTT), où on retrouve des syndicats ayant joué un rôle important dans l’histoire du pays.

Le patronat avec la FEG, ne s’y est pas trompé d’ailleurs, et a commencé à faire des propositions dès le 31 août, ce que personne ne peut lui reprocher. Que vont bien pouvoir répondre les syndicats s’agissant de la flexibilisation, ou encore de la gestion de la CNAMGS et de la CNSS qui devrait être confiée au secteur privé ? Pour l’instant c’est le silence absolu. Espérons que ce mutisme ne va pas perdurer. Dans le climat actuel, il est plus que jamais indispensable que les syndicats jouent pleinement leur rôle qui est également de canaliser les revendications. Il n’est dans l’intérêt de personne que les syndicats soient totalement débordés, et que le champ social se transforme en assemblée générale d’étudiants.

C’est nous semble-t-il la voie la plus sage. Mais un autre choix peut être fait, avec l’épée de Damoclès de l’inflation des revendications qui, par la force des choses, ne seront pas toutes satisfaites, le propre des miracles étant leur rareté. Au bout du chemin, il restera un champ de désillusions et le sentiment d’une occasion ratée… en attendant le prochain Père Noël, l’espoir faisant vivre.

L'URL courte de cet article est : https://www.leconfidentiel.ga/a5uj
Partage48Tweet30EnvoyerPartage

Articles Recommandés pour vous

Séisme chez Réagir de François Ndong Obiang : Quinze cadres claquent la porte,, photo DR.

Séisme chez Réagir de François Ndong Obiang : Quinze cadres claquent la porte

par Arnaud Mbeng Edou
9 mai 2025
0

Le courrier de démission, adressé au secrétaire exécutif de leur aile du parti, révèle un profond désarroi et une perte de confiance significative de la part de ces...

Gabon : Murielle Minkoue épouse Mintsa prend les rênes d'une administration de la Présidence remodelée

Gabon : Murielle Minkoue épouse Mintsa prend les rênes d’une administration de la Présidence remodelée

par Arnaud Mbeng Edou
9 mai 2025
0

Quelques jours auparavant, le dimanche 4 mai, l'ancienne ministre assurait avec détermination la continuité des affaires courantes au ministère de la Réforme des institutions, consécutivement à la démission...

Nazaire Moutendi Moukaka, à gauche, aux côtés d'Alexandre Barro Chambrier, photo DR.

Akanda : Un cadre du Rassemblement pour la Patrie et la Modernité claque la porte

par Arnaud Mbeng Edou
9 mai 2025
0

Le Rassemblement pour la Patrie et la Modernité (RPM), parti fondé et dirigé par l'actuel vice-président du gouvernement, Alexandre Barro Chambrier, voit l'un de ses cadres quitter ses...

Note souveraine du Gabon : Fitch Ratings appelle à la prudence malgré l'échange de dette réussi, photo DR.

Note souveraine du Gabon : Fitch Ratings appelle à la prudence malgré l’échange de dette réussi

par Loïc Edzang
9 mai 2025
0

Dans son rapport, Fitch reconnaît que l'échange d'obligations et de bons du marché régional en monnaie locale, annoncé le 28 avril dernier, n'a pas constitué un événement de...

Plainte contre Ali Bongo et consorts : Geoffroy Makosso dénonce un « faux document » et maintient les accusations, montage photo Le Confidentiel.

Plainte contre Ali Bongo et consorts : Geoffroy Makosso dénonce un « faux document » et maintient les accusations

par Arnaud Mbeng Edou
8 mai 2025
0

Dans sa missive, M. Makosso dénonce avec véhémence l'authenticité de l'attestation de renonciation à porter plainte contre Ali Bongo et consorts, la qualifiant de « faux ». Il...

Commentaires 1

  1. Ondo Rose says:
    2 ans ago

    Article pertinent que les syndicats et les services du ministere du travail devraient s approprier et agir en toute responsabilite

    Répondre

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

UNE QUESTION ? CONTACTEZ NOUS

Toute l’équipe de Le Confidentiel reste à votre entière disposition pour tout renseignement complémentaire.

Par email : contact@leconfidentiel.net

Inscrivez-vous à notre Newsletter

  • Les appels de fonds suspects de Vincent de Paul Massassa dans un compte offshore aux entreprises pétrolières et gazières, crédit/Le Confidentiel

    Les appels de fonds suspects de Vincent de Paul Massassa dans un compte offshore aux entreprises pétrolières et gazières

    1062 partages
    Partage 425 Tweet 266
  • Grande Loge du Gabon : Jacques-Denis Tsanga succède à Ali Bongo Ondimba

    705 partages
    Partage 282 Tweet 176
  • Gabon : quand Brice Clotaire Oligui Nguema assume sa polygamie au sommet de l’Etat

    692 partages
    Partage 277 Tweet 173
  • Le Directeur général de la Sotrader Ahmed Bongo Ondimba viré

    658 partages
    Partage 263 Tweet 165
  • Le factice testament de Mohamed Nour Ed-Din Edouard Valentin BONGO

    588 partages
    Partage 235 Tweet 147

Dernière Info
Formation : 60 conducteurs de grues offshores mieux outillés
Olam Palm Gabon développe le réseau des pharmacies agréées CNAMGS
Reconnaissance du système TRACER par l’Union Européenne
GSEZ : La sécurité aérienne à tout prix
RSE : GSEZ échange avec ses parties prenantes
  Flash Infos
Gabon : Murielle Minkoue épouse Mintsa prend les rênes d’une administration de la Présidence remodelée 9 mai 2025
Note souveraine du Gabon : Fitch Ratings appelle à la prudence malgré l’échange de dette réussi 9 mai 2025
Plainte contre Ali Bongo et consorts : Geoffroy Makosso dénonce un « faux document » et maintient les accusations 8 mai 2025
Le Conseil National de la Société Civile et la plainte avortée contre Ali Bongo et consorts : quelle crédibilité aujourd’hui pour la société civile gabonaise ? 8 mai 2025
Crise ouverte à Orabank Gabon : Le personnel accuse le DG Mevi Carlos Maxime et saisit le ministre du Travail, dénonçant des risques majeurs 8 mai 2025
Next
Prev

© 2021 Le Confidentiel - Powered By Webmaster Freelance

Aucun Résultat
Voir Tous les Résultats
  • Accueil
  • Le Brief du Jour
  • Actualités
  • Business & réseaux
  • Les coulisses du pouvoir
  • Cold case
  • Nominations
  • Portrait
  • Infox
  • Société et culture
  • Sports
  • Qui Sommes-Nous ?
  • Contactez-Nous

© 2021 Le Confidentiel - Powered By Webmaster Freelance

WP Popups

Add you text in here

×
×