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Candidature consensuelle de l’opposition : “Je ne vois pas pourquoi je ne serai pas choisi puisque je réponds aux critères”, Alexandre Barro Chambrier

Alternance politique, projet de société, candidature consensuelle, bulletin unique, rumeur de financement par le Président congolais Denis Sassou Nguesso : Alexandre Barro Chambrier, candidat à la présidentielle du 26 août 2023, dans une interview accordée à nos confrères de l'Union répond en toute franchise.

Arnaud Mbeng Edou par Arnaud Mbeng Edou
15 août 2023
dans Actualités, Flash Infos, Les coulisses du pouvoir
Candidature consensuelle de l'opposition : "Je ne vois pas pourquoi je ne serai pas choisi puisque je réponds aux critères", Alexandre Barro Chambrier © Le Confidentiel.

Candidature consensuelle de l'opposition : "Je ne vois pas pourquoi je ne serai pas choisi puisque je réponds aux critères", Alexandre Barro Chambrier © Le Confidentiel.

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l’Union : Monsieur Alexandre Barro Chambrier, depuis au moins deux ans vous prônez l’alternance politique au Gabon. Outre cet idéal, qu’est ce qui vous motive à briguer la magistrature suprême ?

Alexandre Barro Chambrier : Aucun patriote sincère ne peut rester indifférent face à l’ampleur des dégâts occasionnés par la gouvernance calamiteuse du Président sortant et de son régime au cours des quatorze années qui viennent de s’écouler. Au plan politique, il faut bien noter l’exacerbation croissante des antagonismes entre la majorité des gabonais et la classe dirigeante qui met tout en œuvre pour bafouer la souveraineté du peuple par des manipulations incessantes de la Constitution, des lois et règlements divers. Il en résulte un profond mécontentent du fait des atteintes intolérables aux droits fondamentaux des citoyens. Au plan économique, force est de constater l’incapacité du pouvoir à impulser une croissance forte, durable et inclusive nécessaire à l’accélération du développement. Ainsi au lieu d’enregistrer des progrès, à défaut de faire du sur place, notre pays régresse. Au plan social, la pauvreté et la misère n’ont fait que s’aggraver et le chômage, notamment des jeunes, a atteint des sommets. C’est donc au regard de ces constats, à l’interpellation des populations qui m’ont sollicitées à chacune de nos rencontres ainsi qu’à l’expérience que j’ai accumulée aux niveaux national et international qui m’ont décidé à me porter candidat à l’élection présidentielle afin de me mettre au service de mon pays, le Gabon, qui se trouve au bord du précipice.

il ne faut pas exclure, d’ici le jour du vote, la possibilité qu’il y ait des regroupements autour d’une candidature consensuelle

Aujourd’hui, vous êtes dix huit candidats face au Président sortant. Comment évaluez-vous les chances de parvenir à une alternance dans ces conditions, sachant que l’élection est à un tour ?

Les chances de parvenir à l’alternance sont liées au fait du raz le bol des gabonais qui sont à bout et n’en peuvent plus de toutes les souffrances qui leur sont infligées par ce pouvoir qui ne se préoccupe pas de leurs conditions de vie. Dans ce contexte, il existe, comme jamais auparavant, une irréversible aspiration des gabonais au changement et à l’alternance. Par ailleurs, il ne faut pas exclure, d’ici le jour du vote, la possibilité qu’il y ait des regroupements autour d’une candidature consensuelle qui permettrait de réduire la dispersion des voix sur laquelle comptent le président sortant et ses partisans pour se maintenir au pouvoir.

Je travaillerai avec tous ceux qui sont disposés à le faire et je soumettrai mon bilan à une évaluation régulière

Que proposez-vous de nouveau aux gabonais pour qu’ils vous accordent leurs votes ?

Il ne s’agit pas forcément d’une question de nouveauté en termes de propositions. Les gabonais veulent un président patriote, qui aime son pays et est attaché à ses compatriotes pour respecter ses engagements à leur égard. Il faut être capable de mettre en œuvre ce que l’on propose et contrairement à celui qui passe d’une promesse, d’un engagement à un autre sans réalisation concrète, je propose un nouveau système de gouvernance du pays. Je travaillerai avec tous ceux qui sont disposés à le faire et je soumettrai mon bilan à une évaluation régulière pour que les gabonais puissent vérifier le niveau de concrétisation de mes propositions. La plus-value sera surtout dans mon style de gouvernance à savoir : fonder la décision et la dépense publiques sur la priorisation des projets et l’application effective de la sanction en cas de dérive. Dans un pays où les maux restent les mêmes : déficit d’écoles et d’enseignants, mauvaise qualité du réseau routier, insuffisance de l’offre de soins de santé, manque de médicaments, pénurie d’eau et d’électricité, montée exponentielle du chômage, aggravation de la cherté de la vie, incapacité de verser aux retraités leurs pensions, on ne devrait pas s’étonner que certaines propositions portent sur les mêmes sujets. Cela étant, je propose un nouveau modèle de développement économique et social fondé sur le redressement de l’économie et le meilleur partage des fruits de la croissance. Il permettra de créer plus de 100 000 emplois et de ramener le chômage en dessous de 20% à la fin du quinquennat. En outre, le taux de chômage des jeunes qui est de 33 % actuellement sera également ramené en dessous de 20%. Avec les effets conjugués des mesures de redressement économique, du rattrapage infrastructurel et la mise en œuvre du nouveau Pacte social que je propose au Gabonais, la pauvreté passera en dessous de 15% : revalorisation du pouvoir d’achat, meilleure distribution des richesses par la création des emplois décents, garantir à tous un accès aux services sociaux de base, garantir l’accès de tous à un logement digne et sécurisé, etc. A cette fin, mon ambition va se concentrer autour des priorités suivantes : Doter le Gabon des infrastructures politiques, fruits d’un large consensus national et gages de prospérité durable et de paix ; Doter le pays des infrastructures économiques et sociales de base pour son développement et le bien-être des gabonais : construction de plus de 2000 KM de routes bitumées, doter les provinces des pôles de formation professionnelle, universitaire et de recherche, doter les provinces de centres hospitalo-universitaires avec les démembrements dans les différentes villes de la province, doter notre pays des infrastructures hydrauliques, électriques et énergétiques à la hauteur des besoins des industriels et des populations, faire du Gabon un pôle régional de l’économie numérique grâce à la forte connectivité et à l’accès aux infrastructures numériques, etc. ; L’amélioration du climat des affaires ;La véritable transformation des matières premières sur le territoire national ; La transformation des neuf provinces du pays en pôles de croissance économique et de développement intégré ; Le renforcement de la crédibilité du pays en matière de financement de la croissance grâce à une meilleure maîtrise des finances publiques ; L’éradication de l’extrême pauvreté en milieu rural et urbain, et le renforcement de la solidarité active et inclusive.

Nous organiserons des conférences avec les bailleurs de fonds du Gabon sur la dette et le financement du redressement de l’économie

Toutes les propositions que vous faites nécessitent beaucoup de moyens financiers. Avez-vous pensé à un plan de financement de tous ces projets, quand on sait que le Gabon est très endetté ?

Il faudrait d’abord connaitre la situation réelle des finances publiques du pays pour mobiliser les fonds nécessaires au redressement. C’est pourquoi les 100 premiers jours, nous ferons un audit des finances publiques. Nous organiserons des conférences avec les bailleurs de fonds du Gabon sur la dette et le financement du redressement de l’économie, tout en élaborant une stratégie de mobilisation des recettes, de rationalisation et priorisation des dépenses de l’Etat pour le quinquennat. En ce qui concerne le financement par fonds propres, nous allouerons au moins 40% du budget pour l’investissement, c’est-à-dire 1000 milliards de FCFA au moins, grâce aux importantes économies que nous réaliserons sur le budget de l’Etat par rapport aux énormes dépenses improductives effectuées actuellement. Il nous faudra également mener une politique budgétaire et fiscale rigoureuse, crédible et stable, capable de financer l’investissement public et rembourser la dette. Il y a enfin, dans les domaines qui s’y prêtent, le recours, dans un cadre transparent, aux partenariats public/privé qui permettront de financer certains projets structurants et de transformer les matières premières sur le territoire national pour gagner en valeur ajoutée.

Personnellement, vous êtes membre de la plateforme « Alternance 2023 » où siègent d’autres candidats. Laquelle plateforme se bat pour trouver un « «candidat consensuel» ». Pensez-vous qu’elle pourra vraiment y arriver ?

Le pouvoir caresse l’espoir que nous ne parviendrons pas à nous entendre sur une candidature consensuelle. C’est non seulement notre intérêt d’y parvenir, mais le peuple gabonais nous l’exige. C’est pourquoi nous y travaillons d’arrache pied. Si malheureusement nous échouons dans l’accomplissement de cette tâche, les gabonaises et les gabonais auront toujours la possibilité de trancher en dernier ressort.

Si d’aventure vous n’êtes pas choisi, êtes-vous prêt à soutenir le choix de la plateforme ?

Je ne vois pas pourquoi je ne serai pas choisi puisque je réponds aux critères. Dans tous les cas on verra comment les choses vont se passer.

Un sujet divise la classe politique depuis quelques jours : le changement des modalités du vote, notamment avec la suppression de l’enveloppe accolée, l’instauration du bulletin de vote unique par parti politique, etc. Le CGE et la majorité estiment que toutes ces modifications émanent de l’Opposition. Qu’en pensez-vous ?

La ficelle est vraiment trop grosse. On peut légitimement se demander pourquoi le pouvoir change t-il subitement et de façon unilatérale, par touches successives, les règles du jeu alors que le processus électoral est déjà largement entamé ? S’agissant de nos propositions pour une plus grande transparence, nous avons effectivement demandé la suppression de l’enveloppe accolée et son remplacement par un bulletin unique tel qu’il se présente dans les pays qui l’utilisent. C’est-à-dire un bulletin unique sur lequel figurent tous les candidats pour chaque type d’élection et non le mélange de genre qu’on nous sert. D’ailleurs, en présentant sur le même bulletin le candidat à l’élection présidentielle et celui à l’élection législative et en obligeant l’électeur à voter pour l’un et automatiquement pour l’autre, ce bulletin porte gravement atteinte au droit de chaque citoyen de voter librement pour le président ou pour le député de son choix. En outre, ce bulletin viole le principe d’égalité entre candidats en introduisant une discrimination dans le traitement entre les candidats indépendants et ceux appartenant à des partis politiques. J’ajouterai que faire figurer sur le même bulletin un ticket Président de la République et Député au motif que ce dernier est censé soutenir, à l’Assemblée Nationale, le programme du premier cité, contrevient au principe constitutionnel de la séparation des pouvoirs exécutif et législatif. Évidement des recours dûment motivés ont été déposés devant la Cour Constitutionnelle. Nous attendons la décision qui en sortira. Il faut, toutefois, craindre que l’on se trouve loin d’élections apaisées, au cas où les nouvelles modalités de vote introduites par le pouvoir seraient maintenues.

Partagez-vous l’avis de vos pairs de l’opposition qui estiment que le bulletin unique tel qu’arrêté fait les affaires du parti au pouvoir ?

Nous verrons bien. Mais je privilégie l’hypothèse souhaitable que ce bulletin soit retiré. Je rappelle aussi, pour sa crédibilité, que le CGE, structure chargée d’organiser les élections, doit demeurer indépendante, impartiale et objective.

Lors des précédentes élections, particulièrement les présidentielles, la sécurisation des votes au sein des bureaux de vote a toujours constitué le talon d’Achille de l’Opposition. Avez-vous pris des dispositions pour pallier cette insuffisance ? 

Bien sûr que oui, nous avons tiré les leçons du passé et en particulier de nos faiblesses lors des différents scrutins antérieurs. D’ailleurs un des objectifs visés par la mise en place de la plateforme Alternance 2023, que l’on semble avoir perdu de vue, réside dans la mutualisation des ressources humaines, de sorte qu’en additionnant nos forces, nous soyons en mesure d’avoir des représentants dans tous les bureaux de vote.

Vous avez effectué plusieurs tournées dans l’arrière pays. Quels sont les principaux enseignements tirés de ces tournées ?

Mes périples à l’intérieur du pays m’ont permis de constater l’ampleur des dégradations des villes de l’hinterland et le faible niveau de leur activité, des infrastructures qui se dégradent davantage et sont de plus en plus obsolètes et insuffisantes, le désarroi d’une jeunesse sans qualification ou des diplômés sans emploi. J’ai été plus que révolté par la souffrance des populations installées dans des quartiers précaires sans eau ni électricité, par la malnutrition dans les zones rurales ainsi que des difficultés qu’endurent les femmes en milieu rural et urbain. Ces constations ont renforcé ma détermination à œuvrer pour l’avènement d’un Gabon moderne, prospère et plus solidaire.

j’ai été très bien reçu à Okondja, à Franceville et à Moanda où les populations ont assuré ma sécurité

Dans certaines contrées, vous avez été victime de violences. Vos adversaires surtout du côté de la majorité vous ont accusé d’avoir organisé ces incidents pour jouer ensuite à la victime, comme cela peut se faire en politique. A quel degré, ces incidents vous ont-ils affectés ? 

Il ne sert à rien de grossir inutilement les choses. Il se trouve qu’à Okondja, il y a quelques temps et plus récemment à Franceville, certaines personnalités d’un parti politique bien connu ont pensé me réserver un accueil à leur manière en voulant empêcher la tenue de mes activités ou en cherchant à perturber leur déroulement. Il faut considérer que certains ont vou accréditer l’idée d’un rejet de ma personne dans la province du Haut-Ogooué, ce qui est archi- faux puisque malgré les velléités de ces quelques esprits malveillants, j’ai été très bien reçu à Okondja, à Franceville et à Moanda où les populations ont assuré ma sécurité face à l’indifférence des forces de l’ordre à qui je rappelle qu’elles sont là pour veiller à la sécurité de tous les citoyens et non pour la seule protection du régime en place.

En plus de l’élection présidentielle, le Gabon organise aussi les élections législatives. On sait que pour gouverner sereinement si vous êtes élu, il vous faudra une majorité à l’Assemblée Nationale. Or, on constate que votre parti, le RPM, n’a pas investi des candidats partout. Ne pensez-vous pas que cela puisse constituer un sérieux handicap ?

Je ne le crois pas. Si l’on considère l’opposition globalement, elle a présenté des candidats sur la quasi-totalité des circonscriptions. Malgré les entourloupes, je suis convaincu que si je suis élu, l’opposition obtiendra la majorité absolue à l’Assemblée nationale. Dans le cas contraire, le Président dispose de l’arme absolue de la dissolution si cela s’avère nécessaire.

Pensez-vous vraiment que je sois achetable ? (…)  je mène, depuis plusieurs années, des activités de consultant international qui me permettent de gagner correctement ma vie

Plusieurs personnes vous soupçonnent d’être financé par le Président congolais, Denis Sassou Nguesso qu’en est-il ?

Pensez-vous vraiment que je sois achetable ? Ceux qui propagent de telles inepties sont, non seulement à court d’arguments, mais sont précisément ceux qui s’adonnent à ce genre de commerce. En outre, je n’ai pas le monopole des relations avec le Congo. D’autres ont même des relations au premier degré avec ce pays ainsi qu’avec d’autres pays de la sous région sans que personne ne s’en offusque. J’invite en tout état de cause à plus de considération pour les dirigeants des pays amis qui sont des hommes d’Etat respectés et respectables. Si vous voulez vraiment tout savoir, sachez que je mène, depuis plusieurs années, des activités de consultant international qui me permettent de gagner correctement ma vie. Je n’ai donc pas besoin de recourir à ce type d’expédients pour poursuivre en mon âme et conscience le combat en vue d’un autre Gabon.

Vous avez été ministre sous l’ère d’Ali Bongo Ondimba, n’avez-vous pas une part de responsabilité dans le bilan du Président sortant ?

J’ai effectivement eu entre 2011 et 2012, une parenthèse d’un an à la tête du ministère des mines, du pétrole et des hydrocarbures où j’ai apporté ma contribution à une meilleure connaissance du bassin minier de notre pays, à l’amélioration du secteur pétrolier par l’établissement des contrats de partage et de production gagnant-gagnant. Certes, en participant à un gouvernement, les membres de celui-ci sont solidaires des décisions prises. Mais cette solidarité comporte des limites lorsqu’on exprime son désaccord face à certaines dérives. Je suis personnellement attaché au travail bien fait, ma rigueur dans l’accomplissement des responsabilités professionnelles qui m’ont été naguère confiées a toujours été reconnue. Ainsi lors de mon passage dans ce ministère stratégique, je me suis efforcé de faire preuve de professionnalisme et de la plus grande probité morale et intellectuelle. Votre mot de fin ?Je souhaite que ma candidature soit prise au niveau où je la situe et qu’elle soit examinée avec objectivité. Dans cet esprit, j’invite les gabonaises et les gabonais à me faire confiance pour qu’ensemble, au soir du 26 août 2023, nous écrivions en lettres d’or une nouvelle page de l’histoire de notre pays et que nous engagions, sans perdre une minute, les réformes appelées à changer en profondeur le visage de notre pays.

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